Un changement de comportement à l'école ou à la maison, une difficulté qui n'arrive pas à être nommée, un bouleversement familial... L'adulte en devenir n'a parfois pas les codes pour dire ce qui le traverse, comprendre ses émotions, il peut alors être interessant d'obtenir un regard neutre pour décoder et avancer plus sereinement. Souvent, quelques rencontres suffisent pour comprendre la problématique et permettre un quotidien plus agréable.
Que ce soit pour un suivi ponctuel ou un travail sur son fonctionnement psychique plus approfondi, il est toujours éclairant de venir échanger dans un lieu neutre, pour faire un pas de côté, comprendre d'une autre manière son quotidien et tendre à un apaisement. Au sein du cabinet, l'idée est d'apprendre à faire avec un symptôme, une anxiété, une situation de mal-être, sans jugement et au rythme de chacun.
Devenir parents d'un enfant conçu par d'autres ou s'interroger sur ses origines, offrir un regard extérieur sur l'apparentement ou répondre aux interrogations qui ne peuvent être posées au sein de la cellule familiale, voilà certains axes de travail que je propose, forte d'une expérience significative dans le domaine de l'adoption depuis 2015. Je réalise également des évaluations d'agrément en vue d'adoption pour le Département du Finistère.
Concernant les suivis d’enfants ou d’adolescents, le point de départ est souvent une alerte extérieure ou un changement de comportement perçu dans le quotidien. Le plus important n’est pas “d’amener l’enfant voir un psy”, mais de pouvoir lui offrir un espace où il sera écouté et entendu, sans jugements, avec son accord/sa collaboration. Parfois, avec notre regard d’adulte, il y a des choses que l’on ne voit pas ou plus, et le psychologue permet d’obtenir un autre regard, neutre, sur une situation.
Concernant les rencontres auprès d’adultes, là encore, il ne peut y avoir de règles : pousser la porte d’un cabinet n’est pas instinctif et demande une certaine disponibilité, matérielle et psychologique surtout. On appréhende parfois d’être jugés, mal compris, on peut se sentir honteux face à des difficultés. Aussi, il arrive que l’on se trompe de praticien : travailler sur soi-même peut être difficile, complexe, il convient alors de garder en tête que la clef est de se sentir à l’aise dans l’échange, libre, entendu et respecté !
Enfin, un suivi peut être ponctuel (2 ou 3 séances pour avancer sur une difficulté) ou plus régulier afin de faire un travail de fond sur son fonctionnement psychique, sur ce qui se répète et met à mal, sur une situation familiale douloureuse ou un mal-être au travail : il n’y a pas de règles, chacun vient quand il peut et quand il en a envie, pour s’apaiser.
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